Les grands Collectionneurs sont aussi admirés que critiqués. Pour les uns, ils réussissent à créer des collections majeures représentatives d’une époque et ponctuant l’Histoire. Nos Médicis contemporains. Pour d’autres, ils amassent, font et défont le marché de l’art, en pensant spéculation avant amour de l’art !

Mettons ces grands collectionneurs – cet autre monde -, de côté, et focalisons-nous sur tous les autres collectionneurs. Vous, nous !

Vous, nous, qui sommes-nous ? Et quelles sont nos motivations ? Loin du tabou, nous avons à cœur de mettre en avant un amour de l’art qui fait du bien. Bref de finir l’année en Beauté.

Portrait-robot de Collectionneurs

Partons d’un constat : il y a autant de raisons de collectionner, de budgets, de philosophies, … que de collectionneurs !

Toutefois, concrètement, certaines caractéristiques ressortent

• Concernant l’âge, deux classes se démarquent : les 55 ans et plus et les millénials
• Le niveau d’études est globalement élevé : bac + 4 minimum
• Les lieux d’acquisition favori évoluent. Les galeries et ateliers continuent d’attirer tout comme le Web, qui a de plus en plus d’adeptes, notamment au sein des Milenials.
• Les collectionneurs exercent plutôt des professions dans la Finance et les médias, sont indépendants ou entrepreneurs, ou font partie du monde des affaires et / ou de la création.

Quant aux budgets d’acquisition, 30% des collectionneurs ont des budgets annuels inférieurs à 5000€.

Puisque l’on parle sous, oui, y compris dans ces tranches, le spéculateur existe, et il existe d’ailleurs des produits financiers qui permettent aux investisseurs de miser sur l’art sans en acheter…. Mais pour la plupart, et même pour les spéculateurs, l’intérêt est ailleurs, dans l’émotionnel.

Les motivations des Collectionneurs

Le plaisir esthétique

Le plaisir esthétique vient de la contemplation de l’œuvre, chaque jour chez soi, mais aussi d’un plaisir issu de la relation avec l’œuvre d’art, plus intellectuel.

Selon Pierre Lemarquis, neurologue, l’art « sculpte » et « caresse » notre cerveau.

On a deux cerveaux, un qui calcule, rationnel, et un second focalisé sur le plaisir. L’art agit sur les deux : il sculpte la partie qui calcule, en la nourrissant, et il caresse la partie émotionnelle.

Et en ce mois de décembre 2021, cela nous fait plaisir de vous parler de caresses !

💡 Le saviez-vous ?

Il existe une dimension addictive des consommations artistiques, qui augmente avec l’expérience artistique accumulée.

Le désir de reconnaissance

Pour commencer, zoomons sur les valeurs positives de l’art !

Et notamment celle du soutien aux artistes. On ne répètera jamais assez qu’en achetant de l’art on achète le fruit du travail des artistes !

Le désir de reconnaissance est aussi comblé par l’effet que l’œuvre d’art a sur les autres.

L’œuvre d’art devient un élément caractéristique de l’identité du collectionneur, un marqueur social.

La dimension financière

La voici, la composante tabou !

Si on est collectionneur, c’est que l’on a de l’épargne à consacrer à une collection. Un signal que l’on a / ou que l’on n’a pas envie d’afficher !

Transitons rapidement vers une solution : il existe un art abordable !

L’Art abordable, de quoi s’agit-il ?

L’art abordable a ses foires, ses galeries, son marché.

C’est un art contemporain, d’artistes vivants, accessible, ouvert, généreux…  Tous les mediums peuvent faire partie de la sélection. La céramique comme le dessin, la peinture (oui, même à l’huile) comme le bois ou même le bronze…

Comment s’y retrouver ?

C’est là que nous intervenons, en vous proposant un accompagnement sur mesure. Nous vous en parlions dans cet article sur le rôle du conseil.

Bref, vous vous concentrez sur ce que vous aimez, nous nous chargeons du reste.

Ça commence par là si vous avez des questions ⤵️