… et donc l’histoire.

Dès l’Antiquité, l’art du portrait sert à représenter les puissants de ce monde. Petit à petit, il se développe et s’ouvre à une classe moyenne désireuse de demeurer pour l’éternité également !

Afin de répondre à cette problématique, quoi de mieux qu’une photo ? C’est la conclusion que l’on pourrait tirer de la place grandissante des réseaux sociaux, et notamment du réseau Instagram.

Nous pensons en effet que, dans cette volonté d’immortaliser, le genre du portrait a su tirer son épingle du jeu et se renouveler.

Par exemple, parallèlement à cette tendance du portrait, on note – et on aime – cette autre tendance qu’est l’expression de soi que permet un portrait peint ou dessiné par un artiste.

Pour ces derniers, peindre un portrait c’est aussi donner de soi, offrir un moment à la personne portraiturée. Il y a de l’âme, de l’intensité, des sentiments… plus que sur papier glacé.

Cela peut passer par le trait qui implique de facto une émotion…

C’est le cas du travail de Cécile Bicler (artiste multidisciplinaire vivant à Paris) : le trait tout comme la palette chromatique donnent une incroyable intensité aux portraits.

Et cela peut également passer par la forme (ou la non forme)…

Voici deux coups de cœur pour illustrer :

Daisei Terazono (artiste peintre vivant et travaillant au Japon) et Adam Riches (artiste peintre basé à Suffolk – UK) dont nous vous laissons découvrir le travail sur leur profil Instagram.

Nous vous reparlerons bientôt du rôle de ce réseau social dans la vie et la promotion des artistes.

Et pour se quitter, une photo qui réunit deux de ces artistes et est aussi une réponse personnelle à la question « Pourquoi devenir collectionneur ? ».